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240 PURE LIFE, Vol.11.No.4, December. 2017 (Rabīʿ Al-Thānī 1439. Azar 1396)
Cela se justifie par le fait de réduire le recours aux
ressources humaines ou profiter des volontaires locaux qui
s'engagent parfois dans ces types d'activités, de la même
manière que les grands centres chrétiens fonctionnent.
L'autre apport financier, de premier plan, est
l'exonération des établissements virtuels dans certains
pays où la fondation des universités réelles coûte très cher
au niveau des frais fiscaux et douaniers.

4. Canalisation de la Question des Donateurs
Dans la majorité des pays voisins, une grande proportion
des dépenses financières des écoles religieuses est fournie
par les sources privées et non gouvernementales.
Les universités virtuelles ont cette possibilité de capter,
plus largement, les dons bénévoles des communautés
chiites des pays différents (surtout les fonds libanais et
koweïtiens) pour améliorer leurs services didactiques. Les
moyens que le commerce numérique nous offre, peuvent
présenter un atout pour ces universités surtout dans une
telle situation où les transactions bancaires à l'échelle
internationale est presque impossible pour les actants
iraniens.

5. Réseaux Sociaux
En Afrique subsaharienne, les réseaux sociaux tels que
Facebook profitent d'un grand accueil populaire. Les
établissements iraniens peuvent bénéficier de cette
potentialité à condition qu'ils s'adaptent aux mesures
nécessaires et aux exigences techniques, médiatiques et
thématiques de ces réseaux.
Un des défauts des centres religieux iraniens concerne,
dans cette vision, ce problème qu'ils ont des pages dans
les réseaux et dans les plateformes qui ne sont pas
tellement connues pour les usagers africains.